Non, on se trompe, et il n’y en a plus sur le marché, au bout de très peu de temps. […] Puis, au bout de quelque temps, il ajoute : « Ceci est confidentiel… J’ai depuis longtemps l’idée de faire un Panthéon de ce temps-ci… un Panthéon que je ferai avec mes contemporains, hommes et femmes. N’est-ce pas, ce serait gentil de donner ainsi une portraiture de l’humanité de ce temps ? […] » Et il arrive à temps, poussant devant lui les hommes et les femmes de sa troupe. […] Moi, qui ne vis que par la littérature, ça me paraît un temps, où l’usine dans laquelle je travaille, est fermée.