Brutalité et grossièreté de l’esprit du temps. […] Rutebeuf n’eût pas demandé : où sont les preux des anciens temps ? […] Le bon droit de ses adversaires n’est pas toujours plus clair que le sien : mais ils profitent à leur tour du temps. […] Sa foi donc est sincère : mais, comme il arrive toujours, elle se plie aux caractères du temps et de l’homme. […] Bamonillan, Olivier Maillard, son temps et sa prédication, Paris, 1892.