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645. (1898) La poésie lyrique en France au XIXe siècle

Il apprit peu de temps après qu’elle était morte, en baisant ce crucifix qu’il lui avait appris à aimer. […] Il y manque que cette impression ait été achevée, parfaite par le temps. […] On n’a pas le temps, on a trop de choses à faire, la vie est trop occupée, la société est trop bien encadrée, on n’a pas le temps d’être jeune. […] Il chercha quelque temps sa voie et il la trouva dans un genre qui, véritablement, lui appartient. […] Si nous en avions le temps, nous pourrions suivre François Coppée dans son théâtre.

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