L’auteur en se plaçant surtout à un point de vue physiologique, examine la question des perceptions latentes ou insensibles, fort discutée depuis Leibniz, mais qui paraît dans ces derniers temps presque universellement acceptée. […] Bain nous ont fait pénétrer bien plus avant dans le mécanisme de la conscience humaine, en nous montrant ce double courant d’intégration et de désintégration qui la constitue, cette condition du temps qui s’impose à elle et lui donne la forme d’une succession. […] Mais pendant tout ce temps, il est réputé mort.