Dès les premiers temps, un grand éclat vint irriter à la fois et flatter sa passion glorieuse, et donner jour aux vanités de son cœur. […] A peu de temps de là, Coligny, par suite de cette prétendue lettre, appelait le duc de Guise, qui tenait pour Mme de Montbazon ; ils se battirent sur la Place-Royale. […] Ses larmes, à temps renouvelées et abondantes, empêchaient de tarir en elle les sources cachées. […] On le tint quelque temps caché à Méru, dans la terre de la princesse. […] On ne va parler d’autre chose durant quelque temps… Je la crois heureuse et que Dieu lui aura fait miséricorde.