En littérature, l’Italie ne dispense pas d’avoir du génie quand on parle d’elle, et quand il n’y a qu’elle dans un livre, elle ne saurait donner à ce livre l’intérêt que le talent créé, car le talent seul fa dà se ! […] Charles Didier manque de talent… ce n’est point là notre pensée, pas plus que ce ne serait la vérité. Mais son talent, que nous détaillerons tout à l’heure, et pour nous servir d’un mot dans le genre de son titre, n’est pas un talent d’Italie. […] C’est là l’infortune de son talent et de sa volonté. […] Charles Didier, pour lu première fois de sa vie, a montré une portée, une netteté et un talent qu’on ne lui connaissait pas.