Si par délicatesse nous nous détachons du naturalisme, et qu’aux tableaux donc évoqués sans fidélité ni coloris, ni émotion naturiste, nous dénions toute arrière-signification, toute « correspondance » saisissable, que reste-t-il, et est-ce assez ? […] Les lecteurs n’ont pas à craindre, bien qu’ils lisent un poète, les descriptions d’une poésie lassante, et les tableaux d’un Télémaque flou.