cette tête magnifique, extraordinairement expressive, M. le duc d’Aumale en a eu peur, et cela n’est pas bien pour un amateur et un collectionneur de tableaux. […] Ici, écoutez le narrateur : … Du point où le duc d’Anguien avait fait halte pour rallier derrière la ligne espagnole ses escadrons victorieux, il ne pouvait saisir les détails de ce tableau ; mais la direction de la fumée, la plaine couverte de fuyards, la marche de la cavalerie d’Alsace, l’attitude de l’infanterie ennemie, tout lui montrait, en traits terribles, la défaite d’une grande partie de son armée.