Lorsqu’il s’agit de juger le mérite d’un tableau, ne consulte-t-on pas MM. […] Comment cette indignation, cette haine allumée dans l’âme des spectateurs par l’énergique tableau des proscriptions, s’éteint-elle tout à coup ? […] Quel tableau que celui d’une cour corrompue, victime de ses propres intrigues ! […] Ce ne sont pas sans doute ces tableaux de mélodrames, formés par un groupe d’acteurs dans des attitudes pittoresques. Du reste, le tableau de la politique romaine dans les cours des rois, le tableau du courage et de la grandeur d’âme d’un jeune prince et d’une jeune princesse qui bravent cette politique, peut assurément être regardé comme un grand tableau.