Et cet énervé est un artiste de grande conscience, immaculé à sa manière : je suis sûr qu’il se ferait couper la tête — sa tête de Christ (ô ironie !) […] Gerfaut a reçu une balle dans la tête. […] Il y a plus : on peut aimer éperdument sans jamais perdre complètement la tête. […] Il promène sous la lumière du ciel une tête de foudroyé. […] Ils ont des têtes énormes, blafardes ou trop fraîches, des têtes qui semblent gonflées d’humeurs malsaines.