Quand il est arrivé à chacun de mes gosses, il leur prenait la tête entre ses mains : « D’où viens-tu, mon petit ? Écoute. » Il s’agenouillait devant lui, lui entourait le cou de ses bras ; leurs deux têtes s’appuyaient l’une à l’autre, et, pendant quelques minutes, on n’entendait plus rien que le chuchotement des lèvres… Puis, après l’avoir entendu, il lui parlait, le fortifiait, l’enthousiasmait, et, quand c’était fini et que le petit était encore mieux qu’avant disposé à tous les sacrifices, il l’embrassait ». […] S’est à nouveau distingué, le 1er juillet 1916, en partant en tête de la première vague d’assaut sans armes, encourageant les hommes de la voix et du geste. » (J. […] Est monté à l’assaut le 25 septembre 1915 au matin ; en tête du régiment. […] Vite, un pansement sommaire, et le voilà de nouveau à la tête de sa compagnie.