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31. (1888) Journal des Goncourt. Tome III (1866-1870) « Année 1870 » pp. 321-367

Le fils, mince et joli comme une fille, marche le coude appuyé sur l’épaule du vieillard, la main passée derrière la tête, et jouant avec les cheveux blancs du collet. […] C’étaient des élévations de bras au-dessus de sa tête, avec des appels à une vision qu’il appelait à lui avec des baisers. […] De si déchirants efforts pour avaler de petits morceaux de glace, pas plus gros que des têtes d’épingles. […] Sa tête est un peu soulevée sur l’oreiller, et a l’air d’écouter avec le joli ton de hautain mépris qu’il avait, quand M.  […] Le soleil entre, à pleins rayons, par la fenêtre ouverte et joue sur sa bière, et dans les fleurs du gros bouquet placé à sa tête.

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