Si, selon le système de M. […] Kahn ; l’un semble être parti du vers romantique familier, à rejet et à césure variable pour aboutir à un système complexe de rythmes entrecroisés ; l’autre, M. Kahn, imagina le système que nous avons indiqué et dont nous avons critiqué le principe. […] En un tel système le nombre des syllabes accentuées n’est déterminé que par le pouvoir auditif d’une oreille : au-delà d’un certain nombre de syllabes, il n’y a plus de vers, parce que l’oreille ne sait plus les placer instantanément.