Que l’on m’entende : je constate, je ne reproche point ni surtout ne prétends à ériger en loi des prédilections personnelles. […] Mais le bon sens, le tact, l’esprit et l’imagination ne servent de rien, si l’on n’a pas surtout et avant tout beaucoup de cœur. […] On lui reprochera peut-être un jour d’avoir anticipé le cinéma et l’instantané et d’avoir — surtout entre 1870 et 1885 — côtoyé le « tableau de genre ». […] Aussi en son cas surtout convient-il de ne pas fausser, en en majorant la portée, le passage du soliloque au dialogue. […] Mais je m’en voudrais d’insister davantage sur un livre que son auteur juge aujourd’hui trop incomplet et qu’il a d’ailleurs surtout écrit pour se délivrer d’une obsession.