Sa sobriété, son tact à choisir les grands traits de tous les sujets qu’il traite, à sacrifier les détails inutiles, serait un mérite considérable en tout pays, et ce mérite est surtout à louer chez un Russe. […] Il s’inspira de l’Arioste et surtout de Voltaire, dont la langue et l’esprit lui étaient plus familiers. […] C’est dans les récits de cette nature que j’admire surtout sa sobriété et l’art qu’il met à choisir les traits les plus frappants en négligeant maint détail qui nuirait à l’illusion. […] Surtout ne vous avisez pas de vous moquer des hypocrites et des faux philanthropes, vous vous feriez trop d’ennemis. […] Bien qu’il soit impossible de traduire des vers et surtout des vers lyriques en vile prose, j’essayerai pourtant de donner un exemple de sa manière.