/ 1858
531. (1891) Essais sur l’histoire de la littérature française pp. -384

Mais ici, elle suppose encore une âme et une intelligence qui, en se soumettant à elle raisonnent du moins d’après elle. […] Murger n’a gardé de le supposer, et ceux qui lisent M. Murger trouvent bon qu’il ne le suppose point. […] Qu’était-il besoin de lui supposer une sensualité si irritable ? […] On ne songe point à lui demander si ce dégoût du vice, exprimé en termes horribles, en suppose le repentir.

/ 1858