Ils posent en principe que l’homme, surtout l’homme du peuple, est bon ; pourquoi supposer qu’il puisse vouloir du mal à ceux qui lui veulent du bien ?
Ils posent en principe que l’homme, surtout l’homme du peuple, est bon ; pourquoi supposer qu’il puisse vouloir du mal à ceux qui lui veulent du bien ?