Bergerat a rappelé à ce sujet la boutade triste qu’il avait empruntée à Claudius Popelin, et qu’il aimait à répéter : « Rien ne sert à rien ! […] Mais par un besoin de réaction contre lui-même, il faut qu’il s’inflige des démentis, quel que soit le sujet qu’il traite. […] — Le sujet n’en est ni très compliqué ni très neuf. […] Qu’elle soit cause ou effet, on la retrouve à différents degrés chez un nombre de sujets proportionnellement énorme. […] Leur style, discutable devant les traités de versification et les grammaires, correspond admirablement à leur tournure d’esprit poétique et aux sujets qu’ils avaient choisis.