À voir les choses d’un peu haut, il n’y a, en poésie, ni bons ni mauvais sujets, mais de bons et de mauvais poëtes. D’ailleurs, tout est sujet ; tout relève de l’art ; tout a droit de cité en poésie. […] Pourquoi ce sujet ? […] , et que le sujet chevauche hors des limites de l’art ? […] Pourquoi ne point traiter des sujets qui nous plaisent et nous agréent ?