Duclos, dans ses récits, dans ses livres de morale, a de ces observations de bon sens bien touchées, bien frappées, et qui prouvent que le moraliste en lui connaissait son sujet, et le médecin son malade. […] Les esprits qui ont une fois cette habitude de crudité franche trouvent moins d’inconvénient à se rudoyer ainsi, que de plaisir à s’exercer et à donner sur n’importe quel sujet et dans quel sens : Je ne suis pas grossier, disait-il, mais trop peu poli pour le monde que je vois. […] L’esprit n’est jamais faux que parce qu’il n’est pas assez étendu, au moins sur le sujet dont il s’agit.