Rossignol ; la fureur de ces jeux d’esprit redoublera, entretenue par la superstition et le faux goût ; et l’écrivain sur qui ce zèle extravagant s’exercera de prédilection, c’est Virgile. » Le critique suit dans tout son cours la nouvelle destinée que fit au poëte l’illusion superstitieuse. […] Il serait curieux de suivre en détail avec le critique cette traduction habilement infidèle et toute calculée, dans laquelle l’églogue païenne de Virgile est devenue un poëme chrétien, et qui transforme définitivement le dieu épiphane de la Sibylle en la personne même du Rédempteur. […] Ce volume, qui doit être suivi d’une seconde partie, est un premier pas dans cette voie d’application où nos vœux l’appellent et où de plus compétents le jugeront.