Derrière cette femme est sa suivante debout. […] La suivante qui est debout, dévore des yeux toute la jolie couvée. […] Et puis, cette suivante qui d’un bras qui pend nonchalamment va de distraction ou d’instinct relever avec l’extrémité de ses jolis doigts le bord de sa tunique, à l’endroit… En vérité, les critiques sont de sottes gens !