On n’a pas sitôt fini de lire son dernier roman que le suivant a déjà paru. […] Pourquoi encore, dans la scène suivante, largement dessinée, qui pouvait être si belle, quand la reine pénètre chez le roi et que le valet de chambre donne l’alarme, gâter tout par ces mots ? […] » Et ailleurs encore : « La mère Bovary, les jours suivants fut très étonnée de la métamorphose de sa bru ; en effet, Emma se montra plus docile, et même poussa la déférence jusqu’à lui demander une recette pour faire mariner les cornichons. […] « Madame Winthrop était, sous tous les rapports, une femme de conscience scrupuleuse, tellement avide de devoirs que la vie paraissait ne pas lui en offrir suffisamment, à moins qu’elle ne se levât à quatre heures et demie, ce qui alors diminuait l’ouvrage pour les heures suivantes, problème qu’elle aurait désiré résoudre.