Ces caractères méritaient sans doute d’être traités suivant les mœurs des Grecs et des Romains. […] Le bretteur Alcidas, est descendu au dernier degré du gentilhomme perdu de vices et de misères ; — c’est Molière qui l’a indiqué le premier, anticipant ainsi sur la société du siècle suivant ! […] À l’acte suivant, vous retrouvez l’Alceste des premières scènes, mais déjà plus brusque et plus malheureux ; ses amours vont si mal, et même en fermant les yeux, il va découvrir, l’infortuné !