Si quelque chose se rencontre alors à l’endroit indiqué, ce n’est pas elle, mais un de ses précédents ou une de ses suites, un événement qui lui est lié et qu’elle désigne, réel sans doute, mais autre qu’elle-même, et qui, par une correspondance heureuse, l’accompagne ordinairement à l’état normal. […] Elle a deux suites, l’une immanquable et indirecte, mon illusion mentale, l’autre directe et presque immanquable, l’ébranlement du bout nerveux ; ce sont deux ruisseaux partis de la même source ; voilà pourquoi ils se correspondent.