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821. (1894) Les maîtres de l’histoire : Renan, Taine, Michelet pp. -312

Mais il suffisait de causer un instant avec lui pour que cette impression s’effaçât. […] Quelque belles qu’elles soient, elles ne suffisent pas au cœur de l’homme… Rien ne me touche plus que de lire les amitiés de l’antiquité. […] Elle est la vérité, et cela suffit. […] Mais l’humanité ne suffisait pas à l’insatiable besoin d’aimer qui remplissait son cœur. […] Avec quelque discrétion et quelque piété qu’aient été faits ces raccords, ils ont suffi pour qu’on y ait vu une sorte de collaboration et de remaniement.

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