Ces deux cent cinquante pages qui composent la vie d’Abélard suffisent pour classer le livre de M. de Rémusat, quand même le reste serait aussi difficile à étudier qu’un traité de géométrie ou d’algèbre, et que la scolastique elle-même.
Ces deux cent cinquante pages qui composent la vie d’Abélard suffisent pour classer le livre de M. de Rémusat, quand même le reste serait aussi difficile à étudier qu’un traité de géométrie ou d’algèbre, et que la scolastique elle-même.