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684. (1870) Portraits contemporains. Tome IV (4e éd.) « M. FAURIEL. —  première partie  » pp. 126-268

La santé de Fauriel s’accommodait mal de ces occupations administratives, auxquelles il ne voulait pas sacrifier l’étude, et il ne pouvait suffire aux deux objets à la fois. […] Et, s’il ne le comprenait pas, ne vous suffit-il pas de votre ministre, à qui je l’ai dit, et qui vous en estimera davantage ? […] S’ils n’y suffisent pas, cela ne vaut rien ; car vos moments perdus valent mieux que ceux employés par bien d’autres. […] un poëte épique, un des maîtres et des rois prochains de l’idéal ; mais il suffisait à Fauriel, pour remplir ici tout son office, d’être un critique éminent, le plus ingénieux et le plus sagace. […] Il nous suffira donc aujourd’hui de nous arrêter aux principaux articles et à ceux qui ont fait bruit.

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