Il n’y a rien à faire là contre, et si l’on veut une image physique, il suffit de se rappeler l’invincible sourire qu’amène aux lèvres la vue d’un petit homme, levant les yeux vers sa compagne qui le dépasse de toute la hauteur de la tête. […] Cela suffit. […] Il suffit qu’elle découvre le point de contact entre cette sensibilité et son véritable objet. […] Notre seul instinct suffit à les préciser : ils sont tout de création et de conservation. […] Car il ne suffit pas de créer ; encore faut-il conserver, et ce geste est encore plus expressif de l’âme féminine, qui enserre de ses bras et presse sur sa poitrine la tête de celui qui assurera la durée du foyer.