« Rien n’est doux après le succès comme le besoin de rendre justice aux artistes qui l’ont préparé avec patience, conquis avec courage, obtenu généreusement pour l’auteur. […] Brindeau ; il s’est bien vengé, car il a eu tant de succès sous l’habit de Rosamberg, que maintenant c’est lui qui aura le droit à l’avenir de douter de moi. […] Il n’y a pas de succès qui console d’une si grande perte.