Puisque l’homme s’est habitué à ne pouvoir vivre qu’en société, il devait naître en lui, et dans les groupes qu’il compose, une sorte d’instinct social, d’âme collective, trop faible pour lutter avec un succès continu contre les désirs égoïstes, mais qui pourrait compenser sa faiblesse par la ruse. […] Il se peut que ce soit là un commencement, une ébauche d’une réalité future plus solide, mais le résultat final est bien douteux et un succès suffisant reste assez invraisemblable.