Quand ces morceaux de style ont quelques mois de date, ou quelques jours, l’insignifiance en est telle qu’ils sont absolument illisibles — à moins qu’on ne prenne un méchant et triste plaisir à constater cette insignifiance même. […] Mais le don du style est un don gratuit, qui ne s’acquiert point, qui peut seulement se développer — et sans lequel on peut être d’ailleurs un honnête homme, un habile homme et même un grand homme. […] Wolff en constatant la mauvaise qualité de son style, si j’ajoute aussitôt qu’il sait merveilleusement son métier de chroniqueur, ce qui est un don aussi rare peut-être que celui de bien écrire.