Asin remarquera encore que l’ascension allégorique d’Abenarabi et le Paradis dantesque sont écrits dans le même style abstrus, énigmatique, que Lamartine appelait assez heureusement des chants d’hiéroglyphes.
Asin remarquera encore que l’ascension allégorique d’Abenarabi et le Paradis dantesque sont écrits dans le même style abstrus, énigmatique, que Lamartine appelait assez heureusement des chants d’hiéroglyphes.