On se fit, sous la Charte, aux mœurs politiques et à la pratique constitutionnelle, qui n’avaient jamais été possibles auparavant, même sous le Directoire, à cause des réactions violentes et des souvenirs trop animés. […] Mais ce n’est point par ce côté que la nation l’honore aujourd’hui : c’est pour son génie militaire, son code civil, son chatouilleux orgueil d’indépendance nationale, que la France, dans son bon sens, l’accepte comme un héros de cette Révolution qui s’achève et qu’il domine de son souvenir.