Soutenu par une telle absence, qu’il vous est donc aisé, Philippe, de mettre de la victoire dans vos livres et de l’honneur dans notre vie. […] Rabelais vient à propos soutenir son ministre à Montpellier et lui permet d’affirmer que le grec et le latin n’ont jamais été pour lui « matières à subtilités vaines et à bel esprit oratoire », mais qu’il les tient pour nécessaires « à pourvoir son élève d’une pensée ferme et d’un jugement clair ».