Il donne le coup de grâce au cheval qui souffre ; même il lui accorde quelques mots d’oraison funèbre et lui promet le paradis des braves chevaux. […] Et, en définitive, sa thèse souffre de sa malveillance. […] Ceux-ci et celle-là ont à débattre une querelle qui ne souffre plus d’accommodement. […] Ce qu’André Chénier ne peut souffrir, dans le patriarche de Ferney, c’est le royaliste et l’aristocrate. […] Quiconque souffre de la présente guerre — et qui n’en souffre pas jusqu’au tréfonds de son être ?