Pour aimer et pour souffrir en ce monde, les images suffisent ; il n’est pas besoin que leur objectivité soit démontrée. […] Nous sommes plus affinés, plus délicats, plus ingénieux à nous tourmenter, plus habiles à souffrir. […] Le docteur Miracle nous avertit que la tige servait à conduire le fluide, et cette explication souffrait d’autant moins de difficultés, que le public n’était pas du tout inquiet de savoir quel pouvait être ce fluide. […] Il souffrait de la solitude et de ses rêves. […] Il souffre d’être coudoyé par la foule.