Par pure vertu, elle hait le capitaine Rawdon, et ne souffrira pas qu’un si bon argent tombe en de si mauvaises mains. […] souffrira-t-elle que ses innombrables sacrifices soient payés par cette ingratitude et ces dérisions ? […] (Toute la nuit, elle avait été mangée aux puces.) « Bonté du ciel, s’écrie John Brough esquire, une dame de votre rang souffrir une pareille chose ! […] Consolons-nous : les personnages souffrent autant que nous-mêmes ; l’auteur les gâte en nous prêchant ; ils sont sacrifiés, comme nous, à la satire. […] Avec les réflexions, on souffre les détails.