Vous m’avez trop fait souffrir, et cela volontairement, et sans nécessité. […] car il est plus facile à une femme d’expirer que de souffrir. […] Puis les deux femmes ont la bonté ; elles souffrent de la souffrance des autres. […] Il ne fera souffrir son rival qu’à la condition de souffrir tout autant que lui : cela est un médiocre calcul. […] Vous savez, par expérience, ce qui fait souffrir, et tous vos coups porteront.