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195. (1900) Le lecteur de romans pp. 141-164

Elle n’a pas souffert. […] Pour avoir cette ambition noble et pour la croire possible, il suffit de se rappeler que, au-delà du début de la vie, il y a une égalité au moins parmi les hommes : qu’ils ont tous souffert, qu’ils ont tous crié, et que, si variées que soient les peines et les plaintes, tout se résume dans le même besoin d’une infinie justice. […] Ceux qui ont souffert, ignorants ou savants, comprendront toujours quelque chose aux récits de la vie.

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