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2684. (1906) La nouvelle littérature, 1895-1905 « Deuxième partie. L’évolution des genres — Chapitre III. Le roman » pp. 135-201

« Ce qui fait, — dit Stendhal — que les femmes, quand elles se font auteurs, atteignent rarement au sublime, c’est que jamais elles n’osent être franches qu’à demi : être franches serait, pour elles, comme sortir sans fichu. » Ceci n’est plus vrai de nos jours. […] On la voit comme la fille de son cerveau ; elle sort de sa petite maison où demeure un escabeau mystérieux, siège toujours vacant offert aux haltes funèbres de la trahison… ou de la mort.

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