J’ai déjà écrit sur Parny52 ; je voudrais parler de lui une fois encore, et cette fois sans aucune gêne, sans aucune de ces fausses réserves qu’imposent les écoles dominantes (celle même dont on est sorti) et les respects humains hypocrites. […] Il n’a nulle part recours aux accessoires, à la fantaisie, aux descriptions ; tout sort et découle d’un seul et même sentiment.