Songeons aux grandes impressions de la terreur et de la pitié. » (Octobre 1803.) […] C’est lui, c’est notre ami commun Talma, qui me fait encore songer au cothurne tragique. […] Quant à moi, j’ai bien pris mon parti ; ma résolution est inébranlable : si on me fait l’honneur de songer à moi, ma lettre de remerciement est déjà prête ; je n’aurai plus qu’à la signer. […] Vous avez à pourvoir et à prévoir. » Le refus de Ducis l’engagea cependant un peu plus qu’il n’avait peut-être songé d’abord. […] Songez, mon cher parrain, que j’ai mis tout ce qu’il était nécessaire de dire et de faire pour que l’acte marchât bien.