Les jeunes gens doivent songer qu’ils seront probablement traités par leurs cadets comme ils traitent aujourd’hui leurs aînés : c’est presque une loi, une condition du progrès, chose oscillatoire, que les générations s’opposent entre elles en se succédant. […] Ici encore, attachons nous à ce qui nous réunit, songeons-y le plus possible, et tenons-nous-en compte les uns aux autres.