Et, puisqu’il est toujours bon d’user de comparaisons lorsqu’il s’agit d’un poète, je voudrais dire encore combien je songeais à Stuart Merrill en feuilletant l’album de Walter Crane : Princesse Belle-Étoile. […] Ils font un peu songer à l’adorable Intermezzo, de Heine, mais sans cette nuance d’ironie légère qu’on trouve sans cesse chez l’écrivain allemand.