Une autre fois, elle eut un songe : « Elle rêva qu’elle se trouvait avec une amie sur une montagne… Au sommet de la montagne était un jardin environné de haies et qui avait une porte fermant à clef. […] Il n’admet pas que l’on fasse d’un songe indécent et scandaleux le fondement d’une manière nouvelle de prier Dieu. […] la Tempête ou le Songe d’une nuit d’été ? […] Songez au temps, au lieu, à la situation, au moment, et jugez. […] « Songez, lui écrivait Galiani en mai 1770, songez que vous êtes ma première connaissance de Paris ; vous êtes pour moi, je ne saurais me le rappeler sans verser des larmes, primogenitus mortuorum, l’aîné de ceux que j’y ai perdus.