Une lumière n’ayant plus de soleil et n’étant plus que du jour mort, laisse paraître, dans des tons froids et dépouillés, la tristesse et la platitude des maisons sales, des façades grises, où un petit triangle d’ombre vient se poser régulièrement en haut de chaque fenêtre. […] Au loin, un ciel assombri sur une mer aux troubles clartés, laissées dans l’eau par le soleil disparu, et où des silhouettes de gros bateaux échoués mettent des souvenirs de naufrages. […] Leurs ébats en pleine Seine étaient caressés par le soleil levant, et leur beauté fumait dans l’aube. […] » Pierre lui parla alors de changer de vie, quand il serait sur ses pattes et qu’il faudrait aller à ces pays de soleil dont il revenait : « Nous parlerons de cela, je ne te dis pas le contraire. » Ce fut son dernier mot.