Le soleil de la connaissance dissipe les brumes des « mystères artificiels », mais sa lumière élargit à l’infini « l’océan du mystère réel ». […] Écrasé par la tristesse de savoir que tout à l’heure elle va crever, il ne jouit pas des couleurs célestes de la bulle de savon et ne soupçonne pas le soleil lointain qui l’irise.