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388. (1895) La comédie littéraire. Notes et impressions de littérature pp. 3-379

Jean Aicard a les yeux si pleins de soleil, qu’il ne distingue pas nettement les tristesses de la vie. […] Les rosiers continuent-ils de s’épanouir et les blés de jaunir au soleil de mai ? […] L’Innocence, que le poète transforme en soleil, émerge lentement à l’horizon radieux et nous soulève avec elle. […] Et le soleil entre, gai, d’un air de dire bonjour. […] Il procède à la façon des peintres qui, pour donner l’illusion du soleil, jettent sur leur panneau des taches violentes.

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