Les amours, les luxures se fondent, le soleil tremblant vacille et soupire, l’émoi effrite les pensées, le sang et la chair flambent dans un brasier, et le vent tournoie. […] Charles Maurras, qui consacra au Naturisme plusieurs études fort sympathiques (dans la Revue Encyclopédique, le Soleil, la Gazette de France), n’en ait pas admiré toute la pureté.